Le cancer du côlon est un type de tumeur maligne très agressif, sans réagir à temps et sans traitement approprié il conduit souvent à mort. La meilleure façon de le prévenir et l’examen régulier par coloscopie. On peut faire beaucoup au niveau de la prévention par la prise des probiotiques, mais l’administration des probiotiques peut aussi être appliquée en complément du traitement du Le cancer du côlon est un type de tumeur maligne très agressif, sans réagir à temps et sans traitement approprié il conduit souvent à mort. La meilleure façon de le prévenir et l’examen régulier par coloscopie. On peut faire beaucoup au niveau de la prévention par la prise des probiotiques, mais l’administration des probiotiques peut aussi être appliquée en complément du traitement du cancer colorectal.
Plusieurs facteurs génétiques du cancer de l'intestin sont connus qui peut aider à la prévention de la maladie. Le cancer peut se développer à n'importe quelle partie du tractus intestinal, est extrêmement dangereux, souvent fatal. Or le cancer colorectal pourrait être souvent facilement dépisté et prévenu. Les bactéries bénéfiques de la flore intestinale, les probiotiques joueraient un rôle important dans la préservation de l'intégrité de la muqueuse intestinale, ainsi dans la prévention du cancer. Nous expliquons leur rôle dans ce qui suit.
Il existe plusieurs types de cancer colorectal, le plus fréquent est celui du côlon que représente d'environ 40 pour cent des cas des cancers colorectaux. Environ un quart des cas touche l’intestin sigmoïde mais la maladie n’épargne pas l'intestin grêle non plus. Les polypes intestinaux et, plus rarement, d'autres lésions de la muqueuse intestinale, telles que les ulcères et les plaies peuvent être les antécédents indirects. Un lien peut aussi être détecté entre la colite ulcéreuse et l'apparition du cancer. Le mode de vie sédentaire, et surtout l’alimentation inappropriée augmentent le risque significativement. Les recherches ont montré que les additifs, la consommation des aliments préparés, des produits marinés, conservés au sel, de la viande rouge et de l’alcool et l’insuffisance des aliments riches en fibre sont des facteurs qui favorisent le développement d’un cancer de l'intestin. En revanche, le café réduirait le risque du cancer colorectal. soi décaféiné ou non.
En plus de ce qui précède, il y a une prédisposition héréditaire, ou des altérations morphologiques congénitales d'organe. Un autre facteur est l'âge, les cancers colorectaux (principalement le cancer du côlon) développe surtout chez personnes de plus de 50 ans et touche plutôt les femmes. Pour cette raison, dans notre propre intérêt, il est fortement recommandé de se faire dépister à l'âge de 50 et le répéter tous les 10 ans si le résultat est négatif. En cas des antécédents familiaux, le dépistage par coloscopie est recommandé plutôt vers 30 ans. La détection précoce augmente significativement les chances de guérison du cancer du côlon.
Comme déjà mentionné, le cancer de l'intestin est relativement facile à prévenir, mais il faut également savoir que premiers signes d'un cancer du côlon ne sont pas toujours évidents. Dans la plupart des cas, les patients à un stade précoce n’ont pas de symptômes caractéristiques. Les symptômes ultérieurs peuvent également indiquer d'autres problèmes gastro-intestinaux. Dans le cas du cancer de l'intestin, mieux vaut prendre trop de précautions que pas assez, et en détectant les signes suivants il faut consulter un médecin :
Les symptômes du cancer de l'intestin à un stade plus avancé peuvent être la perte de poids significative, survenue du dégoût des viandes, la une diminution de l’envie de fumer chez les fumeurs. De signes tardifs du cancer du côlon sont les vomissements sanglants, des douleurs abdominales persistantes, une anémie sévère, un œdème des chevilles, une pigmentation de la peau et la présence de sang dans les selles. Beaucoup de gens pense automatiquement que ce dernier se réfère au cancer de l'intestin. Ce n'est pas complètement le cas, puisque d’une part, le saignement ne se manifeste obligatoirement et d’autre part, le sang dans les selles peut signaler d'autres maladies (le plus souvent l’hémorroïdes). Cependant, prenez-le au sérieux et toujours recherchez la cause.
Les bactéries bénéfiques logées dans la flore intestinale ou bien les probiotiques, jouent un rôle cardinal dans la préservation de l'intégrité de la muqueuse intestinale.
Les probiotiques utilisent les fibres prébiotiques (polysaccharides). Dans le processus, les acides gras à chaîne courte (acide acétique, acide propionique, acide aminobutyrique) se produisent qui nourrissent les cellules de la muqueuse intestinale, accélèrent la guérison des blessures et des ulcères possibles. L'acide butyrique, allié avec la glutamine, est l'une des sources d'énergie les plus efficaces pour les cellules de la paroi intestinale, tout en contribuant à leur reproduction et à leur croissance saine. En outre, l’acide butyrique est capable d’empêcher la reproduction des cellules tumorales, réduisant ainsi le risque de cancer de l'intestin. Cela a été démontré par la recherche de l'Université de Californie (UCLA), qui révèle que la bactérie probiotique Bacillus polyfermenticus pourrait prévenir la croissance tumorale, et qui »’en utilisation clinique, elle pourrait être appliquée dans cadre du traitement prophylactique pour prévenir le développement du cancer du côlon
Il convient de rappeler que la consommation des probiotiques booste le système immunitaire, qui est également essentiel pour prévenir le cancer de l'intestin. La clé est l’équilibre de la flore intestinale, si cela est perturbé, c'est-à-dire la diversité et le nombre des bactéries probiotiques ne sont plus appropriés, notre organisme aura moins de chance pour lutter contre les tumeurs. La solution est donc la consommation des aliments contenant des probiotiques (yaourt nature, choucroute, soya fermenté, cornichons aigre-doux). Le problème consiste souvent dans le fait que tout le monde n’aime pas ces aliments et qu’on devrait en manger beaucoup pour couvrir le besoin en probiotiques. Ensuite, les aliments ne contiennent pas toutes les souches de bactérie nécessaires. Il est donc raisonnable de prendre les probiotiques sous forme de compléments alimentaires de qualité. Il convient de choisir une préparation probiotique contenant au moins 8-10 souches bactériennes vivantes. La meilleure solution est d’opter pour les symbiotiques, qui en plus des bactéries probiotiques essentielles contiennent les fibres prébiotiques nécessaires à la reproduction des probiotiques.
Sources :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4420487/